Les 100 mètres carrés de surface pulmonaire disposent naturellement de mécanismes efficaces pour se défendre contre les infections bactériennes et virales.
Un processus majeur d’affaiblissement de ses défenses passe par l’inhalation des particules fines. Ces particules de petite taille, inférieures à 2,5 micromètres, pénètrent très loin dans les poumons au contact des alvéoles pulmonaires et perturbent les échanges d’oxygène en créant des stress oxydatifs sur les cellules et des réactions inflammatoires inappropriées.